Le label rouge
C’est un signe de Qualité représenté par ce logo qui est apposé sur des produits alimentaires de Qualité Supérieure.
Il s’appuie sur :
- Un référentiel validé par l’INAO (Institut National de l’origine et de la qualité) et par arrêté ministériel
- Un cahier des charges strict
- Un plan de contrôles réguliers
La qualité supérieure des produits Label Rouge Opale est garantie par :
- Le Bien-être des animaux (conception du logement, qualité de vie, transport…)
- La Qualité supérieure de la viande (analyse, dégustations des produits)
- La Sécurité des aliments (bonnes pratiques d’hygiène en élevage et à chaque étape du produit.
LE LOGO LABEL ROUGE GARANTIE UNE TRACABILITE A TOUS LES MAILLONS DE LA FILIERE (de l’élevage aux points de vente).
Le Label rouge
Le Label Rouge Opale, c’est avant tout un signe de qualité supérieur reconnu.
Ce signe de qualité s’appuie sur un référentiel validé par l’INAO et promulgué par arrêté ministériel :
- Un cahier des charges strict reprenant les exigences à respecter
- Un plan de contrôles sous forme d’audits tierce partie réguliers par des organismes certificateurs accrédités COFRAC.
Cette organisation est la preuve d’une totale neutralité de ce type de démarche.
LES DIFFÉRENTS CRITÈRES GARANTISSANT LA QUALITÉ SUPÉRIEUR DU PRODUIT
- Le Bien-être animal
Ces exigences permettent de limiter le stress des animaux et diminuer les taux de mortalité. - Conception du logement
- Une surface disponible par porc supérieure à la réglementation.
- Mise à disposition d’abreuvoirs en quantité plus importante, comprenant de l’eau contrôlée régulièrement.
- Qualité de vie
- Alimentation adaptée à un meilleur confort digestif.
- Mise en isolement des porcs en souffrance ou ayant des retards de croissance.
- Gestion de l’hyperthermie par la ventilation, régulation de la température et brumisation.
- Transport et déchargement
- Transport des animaux en limitant le temps et la distance entre les élevages et l’abattoir.
- Ramassage des animaux par des chauffeurs formés à la protection animale.
- Déchargement des animaux à l’abattoir par du personnel qualifié et formé à la protection animale.
- Qualité de la viande
- Technologique (maîtrise des pH, intégrité du produit)
- Sensorielle (tendreté, couleur intense, texture persillée plus importante, qualité des gras…).
- Homogénéité et régularité des produits par le tri et la sélection sur des critères mesurables (pH, couleur…).
- Des dégustations régulières des produits attestant la qualité organoleptique supérieure des produits Label Rouge tant en viande de boucherie qu’en saucisserie.
- Les animaux sont âgés de 182 jours minimum.
- Sécurité des aliments
- Respect du guide de bonnes pratiques d’hygiène en élevage.
- Sanitaire : amélioration du statut sanitaire des élevages par la maitrise des pré-requis pour prévenir toute contamination bactériologique pathogène des produits alimentaires :
- Respect des plans de prophylaxie.
- Nettoyage régulier des logements et des systèmes d’alimentation.
- Chimiques
- Interdiction d’utilisation de certaines molécules antibiotiques en engraissement dans le cadre du plan de lutte contre l’antibiorésistance (fluoroquinolones et céphalosporines de dernière génération).
- Interdiction de la distribution d’aliment médicamenteux contenant des antibiotiques aux porcelets avant sevrage et aux porcs charcutiers au cours de la période de finition.
- Suivi et enregistrement des consommations de molécules pharmaceutiques.
- Physiques : corps étrangers
- Interdiction de mise à disposition de pneus (contenant des fils métalliques) et de bidons plastiques en tant que matériaux manipulables.
- Respect de la procédure « aiguille cassée » : utilisation d’aiguilles vétérinaires à usage unique et détectables, identification des animaux contenant une aiguille cassée, traitement du danger à l’abattoir.
UNE TRAÇABILITÉ MAÎTRISÉE À TOUS LES MAILLONS DE LA FILIÈRE : DES ÉLEVAGES AUX POINTS DE VENTE
Les éleveurs OPALE ont souhaité proposer davantage que la notice technique Label Rouge (exigences minimales demandées par l’Etat), notamment en améliorant l’alimentation de leurs animaux et des hommes :
- Une alimentation spécifique améliorée par 60 % minimum de graines de céréales et leurs dérivés.
- Une exclusion de certaines matières premières incorporées dans les aliments soit :
- Interdiction d’incorporation d’huile de palme pendant l’engraissement.
- Interdiction d’utilisation de matières premières étiquetées OGM pour respecter l’allégation « animaux nourris sans OGM (< 0,9 %) ».
- Une incorporation de GRAINES DE LIN extrudées (pour un meilleur apport en Oméga 3).
- Quel que soit l’origine de l’alimentation pour animaux (usine d’aliment ou fabrication à la ferme), la traçabilité complète des matières premières est garantie.
Découvrez notre livre
Découvrez notre démarche dans ce magnifique livre de Thierry JIGOUREL, retraçant l’histoire du cochon.
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